Passée par nos instances dirigeantes, el capitan y el vicio s'étaient posé cette question : "Comment a-t-on pu perdre avec un tel score à Hossegor ?
Il faudrait l'avis d'un sage, d'un expert qui pourrait nous aider à analyser nos faiblesses..."
Aussitôt dit, aussitôt fait, ils allèrent voir Jean-louis Saubaber qui, de son lit d'hôpital, suit avec grand intérêt les exploits de l'équipe tout en gardant un oeil critique sur nos performances (il devrait sortir sous peu et va mieux, au demeurant) :
"Nous sommes trop habitués à jouer à Chiberta, sur des trous relativement courts, c'est en nous entrainant sur les terrains extérieurs et particulièrement en Espagne que nous allons nous améliorer"
"Mais, bon sang, mais c'est bien sur" s'exclamèrent nos instances dirigeantes, "si nous nous représentons, nous organiserons des entrainements à l'extérieur" et de s'extasier, une fois encore, sur le principe socratique de la connaissance de soi pour se transcender.
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